Le mode opératoire et le principe de base sur lequel
reposent toutes ces différentes
machines phosphéniques sont largement détaillés dans les
livres du Dr Lefebure Koundalini tome I et II , de nombreuses explications
et exercices
y sont fort bien détaillés.
Les
techniques phosphéniques permettent d'accélérer
et d'amplifier les états d'hyper conscience. Nous utilisons pour cela
des techniques de stimulations rythmiques alternatives, sonores et visuelles,
qui
permettent
de développer des perceptions subjectives intenses et profondes. Les
exercices de rotation de la pensée associés au phosphène
vont créer dans
le
cerveau de nouvelles connexions neurologiques qui à terme vont engendrer
un mouvement tourbillonnaire qui va à son tour permettre à la
koundalini de s'éveiller
et s'élever le long de la colonne vertébrale. Les machines phosphéniques
ne font qu'accélérer ce processus.
Le tome III de Koundalini précise-lui dans le détail les différents exercices d'Entraînement à la Méditation Gyroscopique. Des exercices y sont clairement expliqués et détaillés pour permettre au débutant de se familiariser avec les techniques de visualisation et de rotation de la pensée. Tous ces exercices se réalisent de manière très progressive pour petit à petit conduire vers l'éveil de la koundalini.
Il faut cependant que je vous raconte comment j'ai découvert gravé dans une église depuis des siècles à quelques km de chez moi ce même mode opératoire.
L'Eglise d'Avenas
Il existe dans le Beaujolais une petite église
très
surprenante par toute la symbolique que l’on peut facilement y déchiffrer
pour peu qu’on se donne la peine de réfléchir un peu. Et
le message ainsi dévoilé est d’une telle clarté qu’il
ne laisse que peu de doute sur sa réelle portée initiatique.
Cette église construite au 12ème siècle se situe sur
la commune d’Avenas en plein cœur du Beaujolais au Nord de Lyon
dans un petit village d’une centaine d’âmes en plein milieu
des bois et des prairies à 640 m d’altitude.
C’est en lisant un livre découvert
par hasard et intitulé Le
Beaujolais symbolique et énergétique de Serge Barnoud que
j’ai découvert qu’une église située à quelques
km de chez moi présentait quelques singularités à caractère à la
fois énergétique et symbolique.
Les explications données par ce livre étaient suffisamment convaincantes
et surprenantes pour que je décide d’aller rapidement vérifier
par moi-même toutes ces affirmations.
Je préparais donc pour ma petite expédition l’attirail
du parfait explorateur du monde énergétique : boussole, carte
IGN, lampe torche, appareil photo, pendule, lobe antenne, baguettes, planches
de radiesthésie…
Les instruments de mesure radiesthésique
J’étais alors encore bien loin d’imaginer
ce que j’allais découvrir à l’intérieur de
cette église…
Il ne m’a fallu que quelques minutes pour me rendre sur
place tant cette église est proche de chez moi. A peine quelques km à vol
d’oiseau. Arrivé sur place je rentre immédiatement dans
l’église, impatient de découvrir ce que cache l’intérieur.
L'Eglise d'Avenas
Une fois dans le chœur de l'Eglise Notre-Dame d'Avenas j’ai effectivement ressenti immédiatement un taux vibratoire extrêmement élevé sans avoir besoin d’un quelconque instrument de mesure pour me le confirmer. J’ai tout de suite ressenti un fourmillement très important dans les mains ce qui pour moi est le signe manifeste d’un lieu énergétique important
Quelques notions de géobiologie.
On peut définir la géobiologie comme l’étude de
l'influence de la terre sur tout ce qui vit.
Science, art et technique, la géobiologie étudie
divers paramètres
provenant du sol, de l'atmosphère ou de formes, perceptibles à notre
sensibilité tels que :les courants d'eau souterrains, les failles géologiques,
les réseaux telluriques, les cheminées cosmotelluriques, le
réseau sacré, le réseau Hartman, le réseau Curry,
etc…
Ces réseaux représentent un maillage plus ou moins régulier
sur le sol : il s’agit en règle générale de bandes
de quelques dizaines de cm de largeur qui peuvent parfois être séparées
de plusieurs mètres.
Depuis plus de cinquante ans, des physiciens, docteurs et radiesthésistes ont
mis en évidence une certaine influence du sol ou d'un lieu sur la
croissance ou le comportement d'une plante, d'un arbre, d'un animal ou de l'homme.
Les énergies de la terre : l’énergie tellurique, l’énergie
cosmique.
Partout, où que ce soit sur notre globe, nous sommes sous l’influence
permanente de deux colossales énergies desquelles nul ne peut se soustraire.
L'énergie tellurique : celle qui provient du centre de la terre.
L'énergie cosmique : celle qui provient de l'espace
La terre a besoin de l'énergie cosmique pour assurer la distribution
de la force universelle, sans laquelle nous n'existerions pas. Cette distribution
s'effectue au travers de réseaux que l'on pourrait comparer à notre
réseau sanguin. Le rayonnement de la terre a une influence sur les cellules
de notre corps. La terre vit grâce à son champ électromagnétique.
Sans les rayons cosmiques qui l'entourent, il n'y aurait pas de vie sur la
terre.
Pour les personnes peu familiarisées
avec la géobiologie, un
réseau sacré est un réseau d’énergie alimenté par
le soleil orienté Est-Ouest ou Sud-Nord. D’une largeur de 0.40m à 0.80m,
il peut s’élargir à 2 m sur certains lieux. On lui donne
le nom de sacré car on le trouve sur tous les lieux de culte antérieurs
au XIVème siècle. Il les relie entre eux.
C’est un réseau d’énergie positive extrêmement
puissant. Les compagnons bâtisseurs de cathédrale connaissaient
parfaitement ces réseaux énergétiques et savaient les
utiliser dans leurs oeuvres. Nos grandes cathédrales ont toutes été construites
sur des réseaux sacrés.
Ces réseaux étaient bien sûr parfaitement connus et maîtrisés
dans des temps bien plus anciens puisque de nombreux menhirs et dolmens sont
implantés sur ces réseaux.
La géobiologie sacrée : c’est l’étude des
lieux de culte anciens, voire antique, reposant sur les réseaux telluriques
ou solaires que l’on y trouve. Entrent en jeu également les formes,
les matériaux, l’orientation
Comme l’être humain, notre vieille planète est elle aussi
parcourue de nombreux réseaux énergétiques.
Si nos ancêtres savaient utiliser et respecter ces réseaux dans
le passé, on ne peut plus hélas en dire autant de nos jours.
« D’un point de vue purement énergétique,
il apparaît
que l’emplacement – qu’il soit d’un menhir ou d’une
autre pierre, mais aussi de n’importe quel autre temple ou sanctuaire – est à l’origine
un mauvais choix. Si l’on en reste au relevé tellurique constaté.
C’est dans tous les cas, un endroit où l’homme ne peut pas
vivre, du moins sans danger pour sa santé. Et pourtant, c’est
sur un site vibratoirement perturbé que les anciens plantaient un menhir, érigeaient
un dolmen ou construisaient une église. Car leur travail permettait
de transformer toute l’énergie négative d’un lieu
en énergie extrêmement positive et régénératrice
pour l’homme. » (JL Bovin, Mégalithes, Editions Mosaïque)
Les églises n’ont pas été construites pour nourrir
notre être matériel, conditionné par le cycle ’’produire
- consommer - mourir’’, entretenu par les pouvoirs en place,
mais pour nourrir notre être spirituel.
L’étude géobiologique des lieux sacrés leur donne
une nouvelle dimension. A force de patience, d’intuition et d’ouverture
d’esprit, il est possible de faire des découvertes passionnantes.
Chaque église est différente par le lieu et les intentions
des bâtisseurs. Les éléments d’architecture peuvent
généralement être lus à plusieurs niveaux : tellurique, énergétique,
biblique et symbolique, car l’architecture de ces édifices est à l’image
du vivant : interactive et complexe (à ne pas confondre avec compliquée).
Apprécier un haut lieu, c’est en ressentir les vibrations dans
tout son être. Les accepter, c’est s’attendre à ce
qu’elles réveillent en vous ce que vous aviez laissé de
côté...
Cette église présente la particularité d’être
construite en lieu et place d’un ancien dolmen à l’intersection
de plusieurs réseaux sacrés.Un plan de l’église dessiné représente
le positionnement de ces différents réseaux ainsi que les points
d’émission d’énergie.
Quelques recherches avec l’aide du lobe antenne et des baguettes me confirment
rapidement
la présence de réseaux sacrés dans l’église.
Pour qu’un système énergétique fonctionne en émission il faut la conjonction de 3 facteurs :
Plan géobiologique de l'église
L’église se situe à la conjonction de plusieurs réseaux sacrés et avec 2 points d’énergie de part et d’autre de l’autel: points (4) sur le plan.Ces points d’énergie correspondent à des vortex cosmotelluriques. Le vortex cosmotellurique serait le phénomène tellurique le plus puissant, utilisé dans pratiquement tous les lieux de culte des Anciens. Celui situé devant l’autel est matérialisé par un petit cercle à même le sol au centre du choeur juste devant l'autel. Il est ainsi bien visible. C’est donc à cet endroit de l'église que l’on capte le plus d’énergie.
Point d'émission d'énergie
L'autel
Le remarquable autel
sculpté et classé,
avec son Christ en majesté entouré des douze apôtres et
la représentation de la fondation de l'église par le roi Louis,
en fait une des merveilles de l'art roman clunisien finissant du XIIème
siècle.
L'autel
L’importance du rayonnement énergétique est tel qu’il peut sans problème être photographié par un appareil utilisé pour photographier les photos d’aura des personnes.
Le rayonnement énergétique de l'autel
Les couleurs dominantes de l’autel sont le bleu, le violet et l’indigo.
Le bleu est la couleur qui a la plus forte énergie dans tout le spectre
des couleurs, le violet et l’indigo sont les couleurs du spirituel.
En
me positionnant sur l’un des 2 points d’émission d’énergie
j’ai bien senti l’énergie monter en moi et en à peine
quelques minutes j’étais aussi chargé en énergie
qu’après plusieurs heures d’exercices phosphéniques
en groupe. Il est très clair que le potentiel énergétique
de cette église est important.
Je prends alors mon pendule et mes tables de radiesthésie pour essayer
d’estimer le taux vibratoire de ces points à fort potentiel énergétique.
Sans
trop entrer dans des détails techniques, nous avons l’habitude
en radiesthésie de mesurer les taux vibratoires à l’aide
d’une échelle dite de Bovis. Un lieu correctement équilibré présentant
alors un taux vibratoire aux environ de 6500 unités Bovis.
La mesure de
ces points d’émission d’énergie me
demandera du temps car je n’ai pas l’habitude de mesurer des taux
aussi élevés.
Je dois me résoudre à changer de planche de mesure devant la
puissance de cette source d’énergie.
La mesure est impressionnante plus de 1 000 000 unités Bovis. Je dépasse
même les limites supérieures de ma planche de mesure. J'ai pu
après ces mesures vérifier leur niveau de pertinence par rapport à des
mesures effectuées par d'autres radiesthésistes dans une autre église
aux caractéristiques
énergétiques équivalentes.
Il faut savoir que ce taux vibratoire mesuré n’est pas constant
dans le temps.
Comme tout être humain, la planète vit suivant son propre rythme.
Il est donc logique que les taux vibratoires mesurés varient selon l’heure
de la journée ou bien de la saison. Mais il existe des techniques d'ouverture
d'énergie qui permettent de libérer totalement l'énergie
d'un lieu pour une courte
durée.
Jusqu’à ce jour je n’avais jamais mesuré un taux
vibratoire d’une telle valeur (ce taux vibratoire exceptionnel m’a été confirmé quelques
jours plus tard par Serge Barnoud): des taux vibratoires de cette ampleur ce
n’est pas courant dans la nature.
Cette église est vraiment exceptionnelle au niveau énergétique.
Les piliers
Je décide alors de regarder de plus prés cette église. Derrière l’autel il y a 4 piliers avec des sculptures assez curieuses. Je passe donc derrière l’autel et en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre je détaille le premier pilier.
Le premier pilier est composé de 6 cercles dans lesquels
on trouve une fleur, chaque fois différente. Chaque cercle correspond
aux 6 premiers chackras. Ce pilier représente clairement les 6 chackras
(racine, sacré, solaire, cardiaque, laryngé, frontal) surmontés
d’un septième chackra représenté par une couronne
(chackra coronal).
C’est bien la première fois que je vois des chackras aussi clairement
symbolisés dans une église.
Le 2ème pilier montre cette fois les 7 chackras en forme de fleurs posées le long d'une ligne ondulante qui part de la base du pilier pour remonter jusqu'au chapiteau. Sur celui-ci, une tête humaine couronnée d'une fleur de lys. Ce pilier représente ainsi ni plus ni moins qu’une montée de koundalini s’élevant le long de la colonne : serpent s’élevant le long de la colonne en ondulant entre les 7 chackras.
De plus en plus intéressant tout cela…
Le premier pilier et le deuxième pilier
Le troisième pilier nous fait avancer dans nos chackras.
Toujours 7 fleurs centrales, cette fois-ci reliées entre elles par les
fils d'énergie.
Le chackra racine puise ses énergies directement dans le sol, la base
du pilier. Le ciel du chackra coronal est voûté. On peut voir
aussi, dans les octogones formés par les lignes, une chaîne d'A.D.N.
La symbolique du 3ème pilier représente les 7 chackras une fois
ouverts après la montée de koundalini.
De puissants liens énergétiques unissent les différents
chackras entre eux.
Le 4ème pilier et dernier pilier présente des lignes bien rectilignes surmontées par un serpent à 2 têtes. Il nous porte dans les énergies les plus fortes, étant placé sur le réseau sacré. Nous retrouvons encore une fois nos chackras, de chaque côté cette fois, un côté féminin et un masculin ?
Le troisième pilier et le quatrième pilier
Notre serpent, donc énergie ou vouivre, qui marche des deux côtés à la fois, est relié au cosmique et au tellurique. Nous sommes en présence du pilier de l'homme arrivé au terme de sa quête, maîtrisant complètement les énergies sans danger
Le serpent à 2 têtes
Dans l’ancienne Chine, on considérait l’arc-en-ciel comme le signe de l’unification du Ying et du Yang. Il était souvent représenté par un serpent à deux têtes. Plusieurs traditions, notamment hindouiste, parlent des sept rayons du soleil en rapport avec les sept couleurs de l'arc-en-ciel, véritable pont entre le Ciel et la Terre, le spirituel et le temporel. L’arc-en-ciel étant alors considéré comme la décomposition en ses 7 couleurs de base de la lumière blanche : la lumière spirituelle.
Les lignes rectilignes symbolisent la libre montée de
l’énergie
après la montée de la koundalini et l’ouverture des chackras.
L’homme accède alors directement au spirituel et prend conscience
de sa partie divine.
Visiblement les sculptures de ces 4 piliers n’ont pas été faites
par hasard.
Surprenant de trouver tout cela dans cette petite église. La notion
de centre d’énergie n’est pas vraiment le fer de lance de
l’enseignement catholique. La présence de ces piliers si explicites
avec leurs sculptures a de quoi surprendre.
Mais ce n’est pas fini, le plus intéressant reste encore à découvrir….
Les vitraux
Je poursuis mon exploration. Après tout il y a peut-être encore
d’autres découvertes intéressantes à faire.
Dans
la nef il y a 7 vitraux (ce n’est certainement pas une coïncidence).
Ces vitraux sont multicolores à dominante rouge, orange, jaune qui correspondent
aux couleurs des chackras inférieurs.
Et de part et d’autre du chœur lorsque je suis sur un des points
d’émission d’énergie je vois 2 vitraux bien étranges
:
A gauche un vitrail jaune entouré d’un liseré bleu, à
droite un vitrail bleu entouré d’un liseré jaune.
Le vitrail jaune et le vitrail bleu
Nous sommes en plein dans les couleurs et structure des
phosphènes….avec
la prédominance d’une couleur centrale entourée d’un
mince anneau de couleur différente.
Ces vitraux représentent les différentes phases d’un phosphène.
Y aurait-il là un message ? Curieux n’est-ce pas ?
La croix de Svastika
Le lien avec les phosphènes est plus qu’évident mais il
nous manque encore le mode d’emploi.
Le phosphène seul m’a jamais conduit à un éveil
spirituel. Nous savons bien qu’il faut pratiquer le mixage phosphénique
(mélange d’une pensée avec le phosphène) pour obtenir
des résultats.
Et bien, à ma grande surprise et aussi surprenant que cela puisse paraître,
le mode d’emploi du phosphène je l’ai trouvé sur
la table ou plus exactement sur l’autel.
Mais ce mode d’emploi n’est pas visible pour tout le monde : les
fidèles dans l’église ne peuvent pas le voir car il est
gravé dans la pierre sur le dessus de l’autel. Seule la personne
qui officie devant l’autel le voit.
Il est évident que de par sa position ce mode d’emploi n’est
pas destiné à être mis en évidence au pré des
fidèles présents lors des offices.
Ce mode d’emploi serait-il réservé à quelques personnes
initiées ?
Bien sûr ce mode d’emploi a lui aussi une portée symbolique
qu’il faut interpréter.
Il se présente sous la forme d’une croix ou plus exactement de 5 croix gravées sur le dessus de l’autel. Mais attention pas de n’importe qu’elle croix. Il ne s’agit pas de la croix symbolisant la crucifixion du Christ que l’on a l’habitude de voir dans toutes les églises mais de croix de svastika.
Une des croix dans un des angles de l’autel et au centre de l'autel.
La croix de Svastika sur l'autel
Cette croix mérite quelques explications.
Cette croix apparaît semble-t-il au début de la préhistoire. Elle existe en 2 versions selon l’orientation de ses petites branches :
- version positive : c’est celle qu’on trouve sur l’autel
de l’église d’Avenas,
- version négative : c’est la trop célèbre croix
gammée de Hitler de sinistre mémoire.
Dans la version qui nous intéresse elle signifie en sanscrit « de
bon augure », elle représente la puissance dynamique de la terre.
Je
me suis longtemps posé la question
:
«
Mais que vient faire cette croix dans cette église ? »
«
Pourquoi une croix de svastika à la place de la traditionnelle croix
catholique qu’on s’attendrait à trouver sur l’autel
? »
Il y a forcément une explication, un symbole derrière. Cette
croix n’a pas été mise là par hasard, pas dans cette église.
La croix de Svastika inscrite dans un carré peut être
retournée, donnant deux versions de sens opposé, facilement
identifiables visuellement, mais difficilement différentiables dans
certaines langues. En sanscrit, les deux formes portent des noms qui diffèrent
par le radical : « bon » pour l'une et « mauvais » pour
l'autre. En Occident, on considère en général que le svastika « tourne ».
On le qualifie donc de « dextrogyre » lorsqu'il tourne dans le
sens de aiguilles d'une montre, et de lévogyre dans le cas contraire.
Mais l'emploi de ces adjectifs ne fait qu'entretenir la confusion, car il existe
deux interprétations possibles du sens de rotation. Si l'on considère
qu'il s'agit à l'origine de la représentation
symbolique d'une rotation, celle-ci s'effectue dans le sens inverse de celui
indiqué par les pointes : les coudes de la croix, et non la pointe des
barres, indiquent donc le sens de rotation.
On peut suivre l'illusion perceptive créée par la courbure des
branches et considérer que le sens de rotation est indiqué par
la pointe de la barre supérieure.
Peu importe qu'elle tourne dans un sens
ou bien dans un autre car, comme le dit Serge Barnoud
dans son livre :
« Elle symbolise le mouvement… Regardez bien le sens de giration
indiqué par les petites branches…Si elle tourne profitez de
son énergie
et de sa positivité »
Mais pour bien comprendre la signification de cette
croix dans ce contexte initiatique, il faut avoir lu les
livres du Dr Lefebure Koundalini tome I et II. C'est en effet dans ces 2 ouvrages
que le Dr Lefebure après avoir mis en évidence la fonction rotationnelle du
cerveau défini les exercices à mettre en oeuvre pour éveiller cette énergie
tourbillonnante qu'est la koundalini à savoir l'association d'exercices de
rotation de la pensée en présence du phosphène. La pensée pouvant être alors
une figure
géométrique,
une fleur, ...
La croix de svastika symbolise donc le mouvement
en tournant, donc une rotation. C'est cette signification
qui est à retenir. Cela
commence à s’éclairer
sérieusement sur le message caché de cette église.
Le message initiatique
Croix… figure géométrique, sens de giration indiqué par les branches…rotation d’une figure géométrique….représentation de phosphène sur les vitraux…
Nous y sommes, j’ai enfin trouvé le mode d’emploi: il suffit
d’associer la croix qui est sur l’autel avec le phosphène
qui est sur les vitraux et …. nous sommes en plein mixage phosphénique
avec la rotation d’une figure géométrique dans le phosphène.
Nous
sommes exactement dans le premier groupe de travail défini par
le Dr Lefebure dans L’Initiation de Piétro.
Je rappelle pour mémoire que les 3 groupes de travail pour le mixage phosphénique sont :
Ces 3 types de groupe de travail ont été choisis ainsi par le
Dr Lefebure car ils sont totalement neutres et de ce fait ils ne peuvent pas
exercer la moindre
influence
sur l'expérimentateur.
La rotation de la pensée ayant pour but alors de créer les voies
neurologiques qui vont permettre l’éveil et la montée de
la kundalini.
Nous avons vu les reliefs dessinés sur les piliers, les vitraux dans
le chœur et les croix sur l’autel.
Résumons maintenant les différents éléments que
nous avons en notre possession afin d’essayer de trouver le message que
les bâtisseurs de cette église ont voulu nous laisser.
Chaque élément à sa propre signification, il suffit maintenant
de relier l’ensemble :
Tous ces éléments s’enchaînent maintenant fort bien les uns par rapport aux autres et tout cela peut se traduire par le message suivant :
:
La rotation d’une figure géométrique dans le phosphène va éveiller les chackras,la montée de kundalini en les ouvrant un à un permettra d’atteindre la lumière spirituelle.
Je pense que ce message est suffisamment clair et qu’il ne demande pas
d’explication supplémentaire à une personne familiarisée
avec les techniques du phosphénisme.
C’est exactement le message que le Dr Lefebure nous a laissé au
travers de ses livres et de son enseignement. Il s'agit bien là du mode
d'emploi des machines phosphéniques. Et ce message, ce mode d'emploi,
a été gravé là
dans la pierre plusieurs siècles avant la naissance du Dr Lefebure ....
Une machine phosphénique
Je vous laisse imaginer la puissance d'exercices phosphéniques
réalisés
dans cette église si plusieurs personnes projettent leur phosphène
sur une personne placée au point d’émission d’énergie
juste devant l’autel….
Nous sommes ici dans un lieu initiatique
de toute première
importance.
Les bâtisseurs de cette église possédaient
des connaissances absolument exceptionnelles.
Il est clair qu’en pénétrant dans cette église
j’étais bien loin d’imaginer la portée du message
que j’allais y trouver.
Cette église est porteuse d’un message initiatique universel
extrêmement puissant.
Je suis heureux d’avoir pu le déchiffrer pour vous en faire part
aujourd’hui.
Bibliographie
Le Beaujolais symbolique et énergétique de Serge Barnoud aux Editions Eroke.
Le livre de Serge Barnoud
Je ne serais jamais arrivé à déchiffrer toute la symbolique
de cette église sans le remarquable travail de Serge Barnoud qui m’a
spontanément accordé l’autorisation de citer ses propos
et de diffuser certains de ses documents.
Je tiens à le remercier.
Attention, ce livre n’aborde pas l’aspect symbolique lié au
phosphénisme. Il traite dans le détail toute la symbolique de
petite Eglise de Notre Dame d’Avenas et du Beaujolais en général.
L’interprétation de l’aspect symbolique lié au phosphénisme
est strictement personnelle.